Parce qu’elle apporte ce qui manquait depuis toujours : un principe opératoire à l’intelligibilité du réel.
Depuis toujours, sciences, philosophie, arts et spiritualités avancent chacun sur leur voie, décrivant des fragments du réel.. La physique quantique, la biologie, la psychologie, les sciences sociales, par exemple, toutes disent quelque chose de vrai, sans jamais disposer d’un langage formel unificateur permettant d’articuler ces savoirs hétérogènes.
L’ULR propose cette structure universelle pour que les savoirs dispersés dialoguent, et pour que chacun de nous puisse mieux se situer dans le réel. L’ULR est une clé. Elle ne calcule pas : elle oriente. Elle ne réduit pas : elle relie. Elle ne ferme pas : Elle ouvre.
Elle établit que le latent n’est pas un vide à négliger, qu’il est la face cachée irréductible de toute chose, qui influe sur le manifeste. Nier le latent, c’est fausser la réalité et laisser naître le désordre.
L’ULR établit l’incertitude constitutive, et rend visible ce qui, dans toute réalité, restait caché. Elle redonne au latent un statut formel et le place à égalité avec le manifeste, comme co-constituant du réel. Cette dimension invisible devient alors une contrainte de toute description. Le latent cesse d’être secondaire : il agit comme un principe opératoire contraint pour comprendre le réel.